Le Forum des ONG a été organisé par le SEDIF à l'Université Libre de Bruxelles (ULB) afin de contribuer à la promotion de l'esprit de la solidarité internationale caractéristique pour la série d'événements dans le cadre de «Campus Plein Sud».
À partir de 10 heures du matin à 16 h de l'après-midi de nombreuses associations et ONGs, y compris Mundus maris asbl, avaient leurs stands dans les locaux du Département de Sociologie de l'ULB au rez de chaussée et au premier étage de 44, rue Jeanne. La gamme des activités proposées par les ONG a été assez large, mais beaucoup portaient sur des questions de durabilité, d'échanges inter-culturels et des activités éducatives et de sensibilisation.
Un flot continu de visiteurs est venu s'arrêtant ici et là pour des discussions. Il a commencé lentement dans la matinée mais a repris pendant la journée.
L'équipe de Mundus maris au Forum était composée de Christiane Daem, Thomas Zadrozny et Cornelia E. Nauen.
Un accent particulier a été placé dans le présentoir sur la combinaison entre la recherche scientifique et comment faciliter l'accès aux résultats pour les citoyens, des réactions artistiques des jeunes à de tels résultats et ce qui peut être fait.
Une sélection des "affiches Darwin" et supports imprimés ont été utilisées pour illustrer ce point et engager des discussions avec les visiteurs. L'accès à Internet a permis de mettre en valeur en plus un large éventail d'activités passées et à venir. Le concept de base de Mundus maris asbl a rencontré beaucoup de commentaires positifs et d'intérêt. Un certain nombre de visiteurs ont déposé leurs noms et contacts afin de rester en contact ou de s'impliquer plus activement. La diversité des angles sous lesquels les visiteurs expriment leurs intérêts est assez impressionnant et une leçon sur la façon dont les étudiants, le personnel et les visiteurs de passage font leurs propres connexions entre leur objectifs spécifiques et les propositions de Mundus maris.
Les règles de poisson pour les poissons de la Mer du Nord ont été particulièrement populaires, car elles autonomisent les individus conscients des enjeux de la durabilité pour éviter d'acheter des bébés poisson et de contribuer ainsi à envoyer le bon signal aux pêcheurs, aux commerçants et aux supermarchés pour offrir seulement des poissons matures à la vente - donc avec un bon potentiel à faire quelque chose de concret et terre-à-terre pour promouvoir une pêche durable.